Livre d’Or

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Vous êtes licencié cette année , ou vous êtes un ancien du club d’escrime,  écrivez nous un petit témoignage de pourquoi vous vous êtes vous mis à l’escrime? le sport?, les films de capes et d’épées? une BD, un livre?  qu’est ce qui vous plait ou a plu au cercle d’escrime d’Arras ? etc…

Vous pouvez indiquer votre âge en nombre d’année de pratique, les années où vous avez pratiqué à Arras.

 A vous d’être nos meilleurs ambassadeurs !

Pour cela, il suffit de saisir un commentaire sur cette page .  A vos plumes les Cyranos !

 

(Martine , au moins 20 ans de pratique)

Un cheval et une épée ! Ainsi  est née la chevalerie !  C’est une passion chez moi depuis  la naissance, très ancrée  en moi  et mon rêve se réalisa  . Je vous salue  chers amis escrimeurs

13 Commentaires

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    • Martine sur 7 novembre 2020 à 19h41
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    Un cheval et une épée ! Ainsi est née la chevalerie ! C’est une passion chez moi depuis la naissance, très ancrée en moi et mon rêve se réalisa . Je vous salue chers amis escrimeurs

  1. Mon envie d’escrime doit remonter à des vieilles épées rouillées au fond du garage familial. Ayant échappé au tétanos par miracle (suite à une demie-amputation d’un doigt mais passons!) j’alternai ensuite études historiques sur l’escrime (études essentiellement basées sur les duels cinématographiques de Jean Marais, c’est vous dire le sérieux!) et la mise en pratique empirique avec ma sœur, qui malheureusement ne témoignait que de peu d’enthousiasme à la perspective de me servir de cible. Bref, sans club à proximité du domicile, j’ai dû me rabattre comme beaucoup à de l’escrime télévisuelle… tous les quatre ans. J’y ai quand même appris qu’avec des petits pas, on pouvait faire de grandes récoltes de médailles !!!

    Il a fallu pas mal d’olympiade et de pérégrinations pour que je découvre l’existence du Cercle d’Escrime d’Arras, par un heureux concours de circonstances. Pas fou, j’ai envoyé mon aîné en éclaireur, prétextant à Eric une charge de travail trop importante pour m’investir dans un sport (ne riez pas au fond de la salle s’il vous plaît !!), bon il m’a cru je crois à l’époque. Je me suis bien évidemment très vite inscrit car au CEA, on y vient pour l’escrime, mais on reste pour l’escrime ET pour l’ambiance !

    Longue vie au club!

  2. Du haut de mes quatre ans j’étais passionné par la chevalerie, ses valeurs, son esthétique et ses combats je voulais être l’un deux. Dans cette quête impossible je me suis naturellement rapproché de l’escrime, un bonheur pour l’enfant plein d’imagination que j’étais. Je n’ai jamais eu l’occasion ni eu l’envie de me tourner vers un autre sport. J’ai 16 ans aujourd’hui, et ça va faire 12 années que je pratique dans notre salle d’armes Laura Flessel. Aujourd’hui mon coté bourrin et peu délicat m’est souvent reproché, mais je trouve ça plus amusant (dommage qu’on je puisse pas faire de sabre ).

  3. Avant de me mettre à l’escrime, je me suis quelque peu cherchée.
    Comme beaucoup d’enfants, j’ai d’abord essayé la danse… j’ai vite déchanté compte tenu de ma souplesse et de ma grâce légendaire. Puis pour suivre mon frère dans son activité sportive je me suis inscrite à la natation. Bien qu’à l’aise comme un poisson dans l’eau, j’ai vite été lassée par les allers retours de bassin que l’on nous demandait.
    Fin CM2, l’escrime est proposée en activité scolaire. J’ai donc la chance de pouvoir m’essayer à ce sport. Une véritable révélation qui me permet de gagner progressivement confiance en moi. Je demande à ma mère de m’y inscrire à la rentrée suivante. J’apprécie très vite l’esprit familial qui s’en dégage et les valeurs que défend ce sport. Pendant 8 années ma persévérance pendant les entrainements et compétitions m’amène à 2 coupes du monde dans lesquelles je fais la connaissance de Fanny (la fille d’Eric et Elisabeth). Une belle rencontre qui nous a permis de tisser des liens.
    Puis les études supérieurs m’oblige à faire une pause jusqu’à mon arrivée sur Arras pour un travail. Avec quelques appréhensions, je pousse les portes du club d’escrime d’Arras (de peur de na pas retrouver l’esprit familial que j’avais connu à Abbeville). Me voilà vite rassurée par la convivialité du club. J’apprécie les échanges, l’escrime singulière de chacun mais aussi le bon niveau du cercle d’escrime d’Arras.
    Je recommande donc vivement ce club mais aussi l’escrime en général qui se pratique très bien au féminin.

  4. (Patrice, 12 ans en années-escrime au CEA)

    De l’enfance que reste-il ,
    Sinon que les rêves d’iles,
    D’abordages de pirates,
    Avec le sabre dans les rates.

    Et si, escrime de jouvence,
    Tu nous faisais revivre ,
    Comme on ouvre un livre,
    Cette part d’insouciance !

    Alors, pendant deux soirs,
    Au cercle d’escrime d’Arras,
    On caresse le dur espoir,
    D’être Lancelot en cuirasse.

    • Nathalie sur 8 novembre 2020 à 18h34
    • Répondre

    En tant que maman, accompagnant Claire.

    Super…vu du banc ! Pas plus difficile que de tenir une raquette et tout aussi tactique !

    Claire entraîne d’abord son papa…vaut mieux envoyer un cobaye !!

    Résistant, le cobaye s’est pris au jeu !

    Il faut dire qu’il était tombé dans la marmite étant petit, au cours d’une expédition polonaise.

    Mince plus d’excuse valable, l’essai est inévitable d’autant plus que
    Dartagnan et sa fille pousse à la roue…enfin à l’assaut.

    Et voilà, l’essai est addictif…l’espoir de s’améliorer ou le partage et la superbe ambiance ???? Vivement la prochaine dose !!!!

    • Jeanphi sur 8 novembre 2020 à 19h45
    • Répondre

    Juillet 1988, me voici à Varsovie, une idée de mon père : la possibilité de faire du sport pendant un mois dans un ‘creps’ polonais, ça me plairait.

    J’y ai d’ailleurs croisé les moins de 20 ans de la sélection soviétique de football, passant dans leur couloir sans me faire voir de leurs anges gardiens.
    J’ai fait du troc, un beau maillot de sport en ultron (les connaisseurs savent 😉 contre le maillot en coton du Dynamo Kiev !
    C’était avant 1989, les soviétiques étaient prêts…

    Mais revenons à l’essentiel.
    J’ai découvert les sports à pratiquer sur place…natation, tennis, escrime et…danse folklorique (il paraît qu’on est obligé, une sorte de rite initiatique…)

    Après quelques heures de tout, c’était décidé, je serai présent à l’escrime le plus possible, à la place de …la danse.

    Je ferraillais plutôt bien, me semblait-il, ou plutôt j’aimais bien ferrailler et le maître d’armes (je n’ai malheureusement pas son nom en tête, mais membre de l’équipe olympique, Eric retrouvera son nom !) approuvait plutôt mon idée de ne pas aller…danser.

    Retour en France, recherche des cercles d’escrime proche de chez moi… Hénin Beaumont, d’où émergeaient déjà les Boidin & co.
    Je me dis finalement que ce n’est plus à 17 ans qu’on entre dans un club : fermez le ban!

    Et un beau jour…
    Un beau jour, Nathalie et moi cherchions des sports à faire pratiquer aux filles.
    Annuaire : athlé, danse, volley, tennis…escrime. Il y a de l’escrime à Arras !

    On prend contact, on y amène les filles, une seule est restée. Elle a connu la micro salle Tételin, puis The salle d’armes

    Quand on les voit sur le bord des pistes, dans une salle flambant neuve, on se dit qu’on aurait dû (Ah il aurait dû y aller crois le, comme ils disent à Toulouse…)

    Et lors du repas de fin d’année deux infos importantes :
    les organisateurs avaient prévu un pack d’eau pour 40, et 154 packs de bière pour 2, j’ai eu soif
    Il existe une escrime loisir, ‘viens essayer à la rentrée tu verras c’est sympa’ (on sert de sac à viande au M20 et M17, mais il ne me l’avait pas dit tout de suite)

    La rentrée est venue.
    J’ai enfilé la tenue, mis le gant, le masque.
    Je me suis branché, et la magie a opéré : l’épée, c’est mon sport !
    Un sport exigeant, mais un sport accessible à mon vieil âge !
    La convivialité, le plaisir de partager les entrainements avec sa fille, puis maintenant avec sa fille et sa femme, de partager les compétitions en famille, quel bonheur !

    • guilluy eric sur 11 novembre 2020 à 11h30
    • Répondre

    Comment j’en suis arrivé à l’escrime ?
    Cela remonte au temps jadis.
    Détecté avec mes deux frères sur un cross scolaire (on courait comme des lapins) un vieux maître d’armes était venu regarder et probablement faire son marché de recruteur. C’était un entraîneur de pentathlon moderne, certainement le plus grand que la discipline ait eu. Alors il nous a mis dans une piscine pour évaluer nos dispositions aquatiques. Pas de bol, papa était responsable d’une piscine quand on habitait en Afrique et forcement l’eau, les longueurs le plongeoir et l’ambiance du bassin étaient juste du quotidien pour nous. On faisait d’ailleurs tous les trois avec mes frères de la natation en club (j’étais brasseur, 1’13 » au 100 brasse tout de même , pour les connaisseurs). Le test était donc fait, je me défendais sur le biathlon (natation-course) passeport nécessaire de base pour pratiquer le pentathlon. Ensuite concours de circonstances, Fontainebleau, le CSEIS et le bataillon de Joinville avec tous les plus grands champions français de toutes les disciplines, les installations les plus grands entraîneurs, et surtout le centre équestre du grand parquet avec des chevaux de la garde républicaine juste à coté. Il ne restait que le tir au 22VO et l’escrime à découvrir. C’est le GRAND Maitre THIRIOUX et le Maître GOURDIN (qui m’a offert mes deux premières épées) qui m’ont ouvert les portes de la salle où m’entraînait mon maître de toujours, Maître René LACAMPAGNE.
    En équipe de FRANCE et en Escrime et en Pentathlon, j’ai dû faire un choix. Et j’ai choisi…… le pentathlon. La FFE m’a alors évincé de toutes sélections et les charges d’entrainement du Penta avec les études ne me permettaient plus de concilier le tout. Et puis il faut le dire je plafonnais. J’ai arrêter le sport de Haut niveau après 5 années sur les listes de haut niveau de préparation olympique
    Ensuite ce fut le concours à l’ ENMA pour plus de 2 ans d’internat et la préparation à la maîtrise d’armes que je combinais avec un autre cursus professionnel.
    Service militaire à Fontainebleau au BJ (8708) à côtoyer les escrimeurs préparant les JO88 de Séoul. Formateur de Maître-nageur (tient-tient) et sparing-partenaire d’entrainement escrime ont bercé tranquillement mon année militaire .
    Après deux mois de vacances été 89, après avoir candidaté un peu partout et avoir été contacté d’un peu partout (plus jeune Maître d’Armes de France en 89 et vice major de promo, ça attirait ), mon choix s’est porté sur ARRAS pour y succéder à Mario BOURDAGEAU, jurant et promettant à ma petite copine méditerranéenne (qui deviendra ma femme), que nous ne resterions dans le nord que deux ou trois ans, histoire de se lancer dans la vie.
    Cela fait maintenant 32 ans que j’y suis, et toujours fidèle.

    • Albane De Jaeghere sur 15 novembre 2020 à 17h51
    • Répondre

    En accompagnant papa lors de sa première année au club à l’inauguration de notre belle salle à Arras par Laura Flessel en personne … ! La bonne ambiance qui y régnait, la salle toute neuve et la gentillesse de Laura (on a même eu un autographe !) nous ont convaincus avec mes 2 frères de nous inscrire l’année suivante.

    Je garde d’excellents souvenirs de mes années au CEA, entre les entraînements, les spectacles de fin d’année, les compets le week-end … On aura bien rigolé (et bien souffert :p)

    Merci à Eric et Edouard pour leur apprentissage ainsi qu’à tous les gens que j’ai rencontré grâce à l’escrime !

    Vive le CEA et vive l’escrime !

    • Chaudron Alain sur 17 novembre 2020 à 23h36
    • Répondre

    J’ai commencé l’escrime à Arras à 35 ans soit « à vue de nez » il y a à peu près 7 ans… enfin j’ai très légèrement minimisé ce chiffre… pour ne pas effrayer mes petits camarades de piste.

    Selon la légende familiale, si je pratique l’escrime aujourd’hui c’est grâce à… Zorro et plus précisément à un Noël des années 70 où le débonnaire barbu à houppelande rouge avait dans sa hotte une panoplie de Zorro avec bien entendu la cape, le chapeau, le pistolet, le fouet et l’épée… Eh oui, j’ai encore un souvenir précis de ce déguisement. Il ne manquait que le cheval. Pas grave, mon vélo fera l’affaire… C’est aux dires de mes parents, le plus beau cadeau de Noël de mon enfance. (Notez bien que je n’étais pas très exigeant à l’époque…).

    Légende ou pas, aujourd’hui encore, je prends plaisir à regarder la série télévisée de Zorro avec Guy Williams dans le rôle de Zorro / Don Diego de la Vega, Henry Calvin dans le rôle du Sergent Garcia, Gene Sheldon (Bernardo) et le non moins célèbre cheval, «Tornado »

    Plus concrètement, j’ai tenu une épée (non en plastique) pour la première fois pendant mes études supérieures à Tours lors d’une séance organisée dans le cadre du sport universitaire. Pas un mauvais souvenir en soit, mais il y avait tellement de monde et tellement peu d’épées, d’équipement… que j’ai passé 99,9% de mon temps à attendre mon tour… et comme je venais pour me défouler, je n’ai pas persévéré dans cette aventure sportive. Dommage.

    Une dizaine d’années passe à regarder Zorro… mais aussi nos champions français d’escrime lors des retransmissions télévisées des Jeux Olympiques.

    Enfin, j’arrive pour des raisons professionnelles à Arras et après un temps « d’acclimatation » nécessaire et suffisant dans le milieu Arrageois, je décide de m’inscrire dans un club pour reprendre une activité sportive régulière… mais laquelle pratiquer ?

    Je tombe alors, le hasard faisant bien les choses, sur un petit article de presse qui évoque le CEA…, ni une ni deux, je prends mes clics et mes clacs et me voilà badaboum, tel Bebel dans « Cartouche », dans la salle d’escrime du hall des sports Tételin à quelques marches et fentes de mon « palace » de 30 m².

    Et là surprise, je me retrouve dans une salle à peine plus grande que mon palace… où l’on commence l’échauffement par un « petit foot » (en quelque sorte, un babyfoot). Ensuite, il faut littéralement se battre pour obtenir un créneau sur une des quelques pistes. Le match avant le match en quelque sorte.

    Mais cette fois, je persévère et l’escrime devient mon sport plaisir.

    « Un escrimeur Arrageois, qui surgit hors du vestiaire, court vers l’aventure au p’tit trot. Son nom, il le signe à la pointe de l’épée d’un A qui veut dire Alain, Alain, Alain,… Renard rusé qui ne fait pas souvent sa loi sur les pistes mais qui sort tout de même à chaque fois vainqueur du Cercle d’Escrime d’Arras. »

    Légende quand tu nous tiens…

    • Edouard Quidé sur 23 novembre 2020 à 20h23
    • Répondre

    Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours joué au jeu d’escrime. Dans le jardin ou dans la cour de récréation même si on n’avait pas le droit. Mon grand père m’avait fait une belle épée en bois…

    Très tôt ma mère m’a fait faire du sport. J’ai d’abord commencé par la natation à Achicourt et puis, à l’âge de 6 ans, mon cousin m’a proposé de venir essayer le handball à la halle des sports Richard Tételin qui se trouvait à 500 m de chez moi. Ma séance d’essai terminée, ma mère m’emmena découvrir les salles de sport du 1er étage de la halle. En haut de l’escalier, à gauche, il y avait la salle d’escrime, la porte était entrouverte. De ce moment je ne garde que peu d’images mais beaucoup de sensations : le bruit des armes, l’odeur de la salle, le bruit des pistes en grillage… Les coups étaient puissants, ça allait vite et je me disais qu’il fallait être courageux pour faire ça.

    Après ce sont des souvenirs de foot, avec une vieille balle enroulée de gros scotch (je n’aimais déjà pas beaucoup haha), des souvenirs de séances de préparation physique assez dures (mais je peux vous dire qu’elles étaient au top, même si je ne m’en rendais pas compte sur le moment haha). Ce que j’aimais c’était le jeu « Dartagnan ». Un mercredi, alors que j’avais gagné, j’ai eu le droit de faire un match avec Éric. Mais il était tellement rapide que je n’ai rien pu faire haha. J’aimais aussi beaucoup la compétition, je me souviens de l’agitation la veille des départs, de mon épée (la N°22), des copains, etc. Merci Éric pour tous ces souvenirs, c’était trop bien !

    La suite… j’ai déjà eu l’occasion d’en parler dans d’autres articles.
    Aujourd’hui j’enseigne l’escrime et je sais pourquoi

    • fabienne gaubert sur 5 décembre 2021 à 22h08
    • Répondre

    bonjour
    je m’appelle Fabienne Petit. J’ai commencé l’escrime à Arras avec Mr Jean Deleplanque. Je devais avoir 17 ans. Je venais de Nice et je me suis inscrite au club parce que c’était près de la maison. Pour m’inscrire j’ai utilisé l’argent que j’avais gagné pendant les vacances . Cela ne me permettait de pratiquer qu’un trimestre. Ensuite….Mr Deleplanque m’a permis de poursuivre en faisant un peu de secrétariat et en m’occupant des handicapés. J’ai pratiqué deux ans je crois puis 1 an en tant qu’universitaire puis j’ai du abandonner pour raisons personnelles. J’ai repris l’escrime à Rouen 3 ans peut-être puis, partie vivre au Maroc où j’ai été mutée, j’ai été « maitre d’arme » pendant 3 ans . Ce fut une belle expérience, j’ai participé au dynamisme de l’escrime. Nous étions alors 3 clubs. C’était très sympatique, l’accueil au Maroc était super. De retour en France, certaines personnes auraient aimées que je reprenne l’escrime mais je n’étais que monitrice ….gràce au colonel de service à Paris, chez prieur, quand je suis allée acheter du matériel. Je n’ai jamais pu reprendre l’escrime en tant que monitrice et donc je suis passée à autre chose. J’ai maintenant 74 ans je suis spéléologue et retraitée de l’éducation Nationale. J’ai toujours mon fleuret au grenier. J’ai donné une partie de mon matériel au club d’escrime de Meknès où un vrai maitre d’arme, formé à Joinville m’a accompagné pour monter le club et donné quelques conseils.

    1. Merci beaucoup pour ce jolie témoignage! Même si nous ne connaissons pas tous le maître Jean Deleplanque, le fait que cela vous ait marqué pour former à votre tour à l’escrime est tout à fait dans l’esprit que nous perpétuons de faire aimer notre sport à tous les jeunes (ou moins jeunes) qui passent par la salle !

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